10/02/2006

Graviton et champ scalaire.

Un corollaire à l'étude exposée plus loin

Depuis le début du siècle dernier, le problème de la gravité est resté insoluble, et la description de la cosmologie impossible, que ce soit en physique générale, physique quantique, ou autre.

La supposition d'un Univers gouverné uniquement par l'électromagnétisme a provoqué des difficultés d'interprétation des observations expérimentales. Ainsi sont apparues les anti-particules, les particules virtuelles, l'anti-matière, l'énergie négative,les dimensions supplémentaires; apparemment des nécessités mathématiques, dans un Univers d'origine et de forme indéfinissables.

Nous constatons que l'univers comporte au moins deux sortes d'énergies :
une énergie active, la réalisation matérielle sous forme de champs électromagnétiques;
une énergie réactive, la régulation du mouvement, sous forme de champs scalaires.
La nature de cette dernière énergie est toujours ignorée, jusqu'à présent.

Cependant, en partant du concept proposé, (voir plus loin, la cinématique gyroscopique des particules) de l'évolution des phénomènes physiques depuis un 'Big-Bang', c'est une force qui produit l'action appelée l'impulsion originale du photon, cette première particule élémentaire.

Une impulsion,c'est l'action d'une force pendant une durée : p = fp x t.
Une force ne peut produire une telle action que si elle dispose d 'un appui ponctuel, qui subi une force égale, sans déplacement.
Cette force n'est pas l'inverse de fp, elle n'a aucun vecteur privilégié, c'est une force potentielle. Son action est proportionnelle à l'énergie, et l'accompagne; nous le constatons expérimentalement, depuis 1919, la prévision d'Einstein.

Ne présentant aucun vecteur ni aucune division particulière, indépendante du temps et de la température, c'est une grandeur propriété de l'énergie.
Son action d'influence, une attraction envers toute autre énergie ou masse, ni magnétique, ni électrique, est inconnue; mais a les mêmes caractéristiques que ces phénomènes, c'est-a-dire en fonction de ' d² '. distance entre centres d'énergie. Cette influence est radiale, sphérique, donc d'une origine ponctuelle, comme l'origine de l'impulsion primordiale.

C'est le cas cependant de la charge électrique, négative, qui possède un champ scalaire; (d'après Bernard DIU, Traité fe physique à l'usage des profanes, Odile Jacob; 2000) .
Sans doute aussi le champ luminifère, pour la raison précédente, et le champ magnétique.
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Suivant Einstein, E = mC², en l'absence de masse, m est la force d'impulsion :
m = fp = E/C², et la foce potentielle associée, de même valeur est, disons, fg.

La formule définissant l'impulsion est p = hv/c.
La formule définissant la force d'impulsion et la force associée est :
fp = hv/c² =fg.

Nous avons ainsi une nouvelle constante naturelle pour deux grandeurs, la force d'impulsion,
du photon, son énergie, et la force de gravité, cette dernière peut être appelée le :

graviton, unité de champ scalaire.

Avec v , fréquence maximale hertzienne à racine 10^43, qui résulte de la cinématique gyroscopique des particules, et défini la masse de Planck hv . Voir l'exposé plus loin .

L'impulsion est conservée par sa transformation en particule électromagnétique, qui transporte l'énergie,représentée par un moment magnétique et une inertie. Lors d'un impact,on retrouve l'énergie sous forme d'une action élémentaire. Nous avons donc une origine commune à deux grandeurs : énergie et masse dont les unités habituelles sont gr-force et gr-masse, plus récemment, énergie et masse.

On comprend ainsi physiquement la formule d'Einstein : E = mC², l'équivalence énergie-masse.

Ceci indépendamment d'une troisième forme d'énergie , l'énergie thermique.

Au moment de la création du Cosmos, un même multiple de ces deux forces, les oppose, et porte la matière à une température maximale, de l'ordre de 10^21°K. Un état de confinement et une
évolution en expansion vers l'état actuel, en fonction du temps.

Dans l'éventualité d'un 'Big-Crunch, correspondant au déroulement de l'évolution en accélérateur de particules, l'état de confinement doit être suivi d'une brusque brisure de symétrie : le passage en phase gazeuse (chaleur diluée), ce qui nous ramène aux conditions de l'origine, sauf le Big-Bang présumé ! (un seul suffit).
Le refroidissement provoque un nouveau confinement, ainsi nous apparaît la possibilité d' un Univers cyclique, une solution déjà envisagée !

Mis attendons la confirmation expérimentale par le LHC, fin 2007 des observations faites au
RHIC, U.S.A., par le groupe de monsieur Thomas LUDLAM.

La question n'est pas épuisée,.....mais voici une réflexion qui résulte de l'étude de la cinématique gyroscopique des particules.
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