6/20/2006


Ce blog a pour objet de faire connaître

1°- des observations qui expliquent le blocage de la physique actuelle
2°- un raisonnement de physique générale qui permet de comprendre la cosmologie
3°- d'en déduire un processus de l'évolution de l'univers, depuis le Big-Bang, accrédité par les observations américaines, imprévues, au RHIC, en 2004.
Ces observations invalident la théorie actuelle, la pensée orthodoxe, au grand dam des expérimentateurs.

Sommaire

1° partie
La physique du vingtième siècle
L'origine et l'évolution de la physique actuelle

2° partie
Vers une nouvelle physique générale
2.1 Le dilemme onde-corpuscule
2.2 Une confirmation en cosmologie.

3° partie
3.1 Une expérience de pensée: depuis le Big-Bang
3.2 Imprévu: une expérimentation américaine décisive

4°partie
Quelques notions révisées

5° partie
Bibliographie




1°-partie
La physique du vingtième siècle
L'origine et l'évolution de la physique actuelle

Rappel de quelques notions importantes.

Au début du siècle dernier, les physiciens connaissaient les ondes électromagnétiques portées par la lumière, depuis FARADAY-1846, et Maxwell-1873.
Max Planck, en 1900, établi la fréquence maximale électromagnétique à 10^43 cycles par seconde, et la quantification de l'énergie, par méthode thermodynamique.
EINSTEIN en 1904 observe une particularité des rayonnements lumineux, ils produisent des franges (Young-1807) ou des impacts ; (vérification par COMPTON en 1923). Il pose le problème: onde ou corpuscule, mais ne l'a jamais résolu.
EINSTEIN, en 1905, propose quatre nouvelles théories dont l'équivalence masse-énergie:
E= mC².
En 1908, HERTZ propose la transmission radioélectrique par les ondes.

En ce début de siècle plusieurs décisions sont prises pour élaborer la physique:
Il a été décidé que la vitesse de la lumière est égale à « C », la vitesse maximale de transfert électromagnétique.
Il a été décidé que cette vitesse est constante.
Il a été décidé que la fréquence maximale est de 10^43 Hz .
(Max PLANCK disait 10^43 cycles par seconde, la radio n 'existait pas encore).
Il a été décidé que le début du temps universel serait 10^-43 seconde.
On sait, depuis FRESNEL (1821), que la lumière est diffusée radialement à la trajectoire des rayons lumineux, c'est donc un champ luminifère qui entoure la trajectoire: la « vitesse de la lumière » est la vitesse de transfert des particules qui nous apportent, éventuellement, lumière et chaleur.
Puis, les radio-physiciens proposent une méthode de calcul statistique et quantique tenant compte des incertitudes d'Heisenberg (les longueurs d'onde-radio se comptaient en mètres !).
Après une dizaine d'années d'expérimentations, les postulats de la Mécanique quantique furent établis, considérant que les ondes radioélectriques et les ondes d'énergie pouvait-être traitées de la même façon. Cette proposition a été faite au Congrès Solvay de 1927 et adoptée, faute de mieux,... pour permettre des expérimentations; une décision non avalisée par des physiciens, tels EINSTEIN et Max PLANCK.

Ainsi plusieurs décisions sont prises au début du siècle dernier, en fonction des connaissances du moment, et jamais remises en question, les évènements qui suivirent, et les succès de la Mécanique quantique firent oublier la physique générale.

Ces décisions, des idées acquises, sont devenues à l'usage, des certitudes.

Quant à la Physique quantique, voici ce que dit Richard FEYNMAN, la référence en ce domaine, cours de physique quantique en 1979, version française Dunod Juin 2001:
« La Mécanique quantique est la description du comportement de la matière et de la lumière, dans tous les détails, et en particulier tout ce qui se passe à l'échelle atomique, onde ou particule; nous avons abandonné ce dilemme, nous disons : « il n'est ni l'un ni l'autre »; il y a heureusement une issue: les électrons se comportent comme la lumière ».

Ceci est la base de la « théorie quantique ».
Et voici la pensée de l'un des meilleurs spécialistes, Etienne KLEIN, dans « Regards sur la matière » de 1-1993 Fayard: « La Physique quantique, c'est un paradoxe, tous les physiciens l'utilisent, mais personne n'est capable de lui donner un sens précis ».

Les années passèrent, la guerre aussi, les radio-transmissions, puis les radio-commandes et la numérisation, ce fut le règne de l'électronique. Ce fut la découverte des «particules élémentaires», en réalité, des actions élémentaires, puis la chromodynamique, les quarks et gluons.
La Mécanique quantique devint la Physique quantique, puis finalement la Physique tout simplement, ainsi un titre de La Recherche de Mars 2006 « Le Big-Bang des Physiciens ».

Cette Physique ne considère que les énergies de champs électromagnétiques, par principe elle ne tient pas compte des champs scalaires, comme le champ de gravité, ce qui est la cause de divergences entre les résultats des calculs, exacts, on ne peut en douter, et les expérimentations répétées en accélérateurs de particules.

C' est une question de physique fondamentale, le champ de gravité échappe à la quantification de Planck.

Il est donc impossible de réunir la Physique générale et la physique actuelle, mais la Mécanique quantique peut être intégrée à la Physique générale, comme Méthode de mesure en Mécanique dynamique.
Il faut donc reprendre la Physique générale au point de divergence, depuis 1904, par le problème laissé par EINSTEIN, le dilemme onde-corpuscule.

2° partie
Vers une nouvelle Physique générale

2-1 Le dilemme onde-corpuscule
Le constat qui retenait les physiciens EINSTEIN et PLANCK d'adhérer au concept de « L'école de Copenhague » était l'apparence de deux fréquences simultanées, dont l'une, d'amplitude très faible, se manifestait par un grain lors de l'impact, la différence entre l'onde d' un rayonnement lumineux, et l'onde d une fréquence radioélectrique: « le grain de lumière ».

Or, il existe en Mécanique générale un phénomène qui a cette propriété, c'est le mouvement gyroscopique, FOUCAULT-(1851): une masse en rotation rapide, sans interaction de l'environnement a la propriété de conserver la direction de l'axe de rotation, sans référence à l'espace, mais dans un champ de gravité, ou un champ électromagnétique, elle maintient cette possibilité par un mouvement de rotation secondaire, beaucoup plus lent.
La vitesse de rotation élevée, disons gyration pour la différencier, est toujours beaucoup plus importante, de plusieurs ordres de grandeur, que la vitesse de précession en mécanique classique.

LA CINEMATIQUE DES PARTICULES ELEMENTAIRES

Par un mouvement complexe, celui du gyroscope, une particule, comportant un moment magnétique, crée une zone de concentration des interactions sur les particules de champ électromagnétique environnant, de façon continue, une trace hélicoïdale de potentiel électromagnétique. Ainsi est créée, une onde de polarisation droite, ou de polarisation gauche, observable (Fig. a).
Ce mouvement traduit la vitesse de précession, mais non la vitesse de gyration.
Le rapport des vitesses: Vgy / Vpr = k, actuellement inconnu dans ce domaine, ne change pas l’expression de 1’énergie du quantum, établie par Planck-Einstein vers 1905:
E = ½ I ω² soit E = ½ Σm r²ω²
moyennant une transcription E = ½ Σm (r²/k)*(ω²k)

Ainsi, le quantum du « grain » responsable comporte k cycles de caractéristiques λ/k et ћ /k ( Fig. b ).
Les expérimentations de Young, de Compton et de Ebbesen sont ainsi compréhensibles et valident cette thèse.
Concernant les photons, on remarque que
1°les rayonnements les plus énergétiques, dits « Gamma », se situent vers 10^19 Hz,
2°l'impossible valeur de la Masse de Planck, en Physique quantique, et
3°la limite maximale de fréquence électromagnétique, celle de Planck, étant de 10^43 cycles par seconde, au delà de laquelle cette notion est perdue; ces valeurs postulent une relation des vitesses :
ωgy (gyration) = ωpr ² ( précession )
Seule l'onde de précession est observable, l'onde de gyration ne l'est pas encore.

Le spin

Actuellement le spin est une observation expérimentale, dont un exposé mathématique présenté par DIRAC en 1926 est toujours inexpliqué.
En Physique Générale, la prise en compte de la cinématique gyroscopique permet une explication.
Dans ce cas , contrairement à l’idée admise actuellement, la rotation de la particule impose les notions de force centrifuge et gravité.
En conséquence, la trajectoire n’est pas la direction du vecteur d’inertie, mais celle de l’impulsion, le vecteur « J », le torseur.

Un photon, ou un boson, est caractérisé par deux vecteurs, le moment magnétique, et l’inertie, deux valeurs d'énergie équivalentes, à 90° d’écart entre elles; en dynamique la force centrifuge les place de chaque coté de la trajectoire, le plan du moment magnétique se trouve ainsi à 45° d’inclinaison sur la trajectoire.
Ce moment magnétique, le spin présente aussi un effet électrique, car tout moment magnétique génère une polarisation axiale, manifestation à basse température de l'électricité statique.

La Lumière

La lumière diffuse dans le plan radial à la trajectoire (FRESNEL-1821).
L’énergie en déplacement est une quantité de chaleur très concentrée et très animée, sous forme de moment magnétique et peut briller.... comme tout corps porté à haute température, telles les étoiles, les flammes, les étincelles, etc… , la luminosité est la somme des brillances des diverses et innombrables particules des rayonnements thermiques.
La « vitesse de la lumière » est donc la vitesse de mouvement linéaire des particules; les photons, qui nous dispensent aussi la chaleur.

La quantification

La gyration et le spin forment un capteur d'information idéal et quantique, il traduit chaque tour, une quantité, durée ou énergie, par modification du mouvement, sans modifier la quantité de mouvement. Comme tout système quantique, sa résolution est de + ou - 1 unité, et le cours de l'énergie ou du temps est continu.
La quantification est donc réalisée par le mouvement gyroscopique sans rupture de débit.
L'information est un comptage d'unités, l'étalonnage en énergie a été effectué par Planck, il y a un siècle (par effet thermodynamique).

Fig a








Fig b


Note: La définition, parcelle de champ, s'imposait car l'expression: particule élémentaire était utilisée par la Mécanique quantique pour désigner une action.
Une explication nécessaire a été communiquée en Septembre 2004.

Ce concept à été suggéré à divers spécialistes ,en activité,en Mai 2004.

2.2 Conséquences en cosmologie

Le concept de cinématique gyroscopique des particules permet de comprendre divers phénomènes de physique générale.

Il conduit à penser que les ondes électromagnétiques observables sont générées par des sollicitations électriques ou magnétiques, mais aussi par des corpuscules d’origine thermique en mouvement gyroscopique, de fréquence nettement plus élevée, et inversement en dimension.

La quantification dite de "Planck-Einstein" concerne les ondes hertziennes alors que la rotation maximale mathématique compréhensible du moment magnétique, 10^43 cycles par seconde, de "Planck", concerne des particules d’énergie qui génèrent les ondes hertziennes à racine 10^43 hz par seconde.
Seule, l’expérience peut donc nous éclairer, en particulier en cosmologie, car cette science fait la liaison entre les observations astronomiques et les mesures en laboratoire dans le domaine des particules.
De nombreuses données de différentes sources sont collationnées pour extraire une possible idée de l’évolution de l’univers et surtout de son origine.

On trouve la description schématique de cette évolution en bibliographie, ou dans la presse scientifique, par exemple:
Par Trinh Xuan Thuan astrophysicien de l’Université de Virginie ( USA ),
Sciences & Avenir, décembre 1994 et le Chaos et l’Harmonie ( Fayard 1998 ).
Par Sylvie Vauclair, Professeur Université P. Sabatier ( Toulouse ),
Sciences & Avenir, mai-juin 1999.
Par Dominique Lambert physicien-philosophe Faculté de Namur ( Belgique ),
Sciences & Avenir, novembre 2000.
Par Serge Brunier Sciences & Vie, janvier 2003.

Mais en vain, les raisonnements ne débouchent sur aucune possibilité de remonter à la source… supposée: le Big-Bang, et l’origine de l’univers apparaît comme… une sphère de Planck, ou ?

UN NOUVEL EXAMEN DU SCHEMA STANDARD

Cependant, une nouvelle réflexion est possible :
Comme référence je prendrai l’exposé de Dominique Lambert, un tableau des principaux évènements de l’ Histoire de l’ Univers; il contient les données nécessaires, malheureusement pour cinq époques seulement, mais cela permet certaines observations.


Extrait des données nécessaires:


Tableau A
( extrait du tableau de D. Lambert , Sciences & Avenir , novembre 2000 )


La densité par cm cube donne accès à une référence linéaire, permettant de comparer les grandeurs: dimension, température et énergie, à différents instants, ces trois grandeurs évoluant sensiblement de concert, au cours du temps dans le domaine considéré.
Cette référence : la racine cubique de la densité, par cm, permet le retour aux grandeurs (en référence L):
Dimensions d= DeltaL sur les trois axes,
Température T = DeltaLx1
Densité D = DeltaL^3


Le tableau B donne les valeurs relatives DeltaL et DeltaT , pour les 5 instants considérés.


De ces valeurs, on obtient les variations relatives de dimension (DeltaL) et (DeltaT) pour les quatre époques et ainsi l'évolution par époque.
Connaissant les évolutions de température pendant ces intervalles, on obtient les variations différentielles par degré.
Enfin, tenant compte de la durée de chaque époque, on s’assure de la cohérence des données, éventuellement de l’existence d’une variable cachée.


Tableau C



Le tableau C est l’application d’une formule simple ΔE-ΔT*Δ t = 0; si la constante "C" est valable, les évaluations d’énergie et de température sont coordonnées, sinon, il existe des écarts ce qui démontre que l'extrapolation n'est plus valable.

La méthode de calcul de densité des particules n'est pas précisée, mais date du début du siècle dernier (voir l'explication bathygène par Annick Barberousse, Science et Avenir, n° H.S. Janvier2004).
La température est évaluée par la formule de correspondance habituelle.
T = -10^10*racine de t
Le temps universel et le temps cosmique ont, actuellement, un départ fixé arbitrairement au temps 10^-43 seconde et la température correspondante 10^32°K.
La figure 1 représente ces bases théoriques retenues et l’analyse des données du schéma standard du tableau B.

1ère analyse: (hors gravité)

Les observations:
Les valeurs du tableau de M. Lambert sont des données scientifiques dont la validité est confirmée par les deux premiers résultats, en colonne e, tableau C; ceci autorise la confiance pour les relevés suivants.
Le point 4 montre le début d’une divergence, que le point 5 confirme.
La divergence entre la température et la densité de particules observée entre 10^-4 et 10^-43 sec . décèle une variable cachée.

Mathématiquement établie par Max Planck, il y a un siècle, le moment magnétique ne peut dépasser 10^43 cycles par seconde. Ce fait fixe donc la limite de validité de la constante de Planck, c’est aussi le point de départ de notre temps universel: 10^-43 secondes actuellement, en fonction des ondes hertziennes, les seules connues à l’époque.
On observe que cette limite est dépassée entre 10^-4 et 10^-43 seconde, c’est déjà le temps du chaos (fig.2).
Les ondes électromagnétiques hertziennes ont pour cause, une source électrique, magnétique ou thermique; dans les deux premiers cas, ces sources transmettent un signal, dans le troisième cas, c’est un transfert d’énergie (le grain de lumière d’Einstein) qui génère le signal.

Ce signal a pour cause le mouvement de précession d’une particule d’énergie thermique, dont le moment magnétique est un mouvement de gyration beaucoup plus élevé (le carré de la fréquence en Hz).
En conséquence, il n'est pas de fréquence supérieure à 10^43 cycles/s.

La précession est due au champ de gravité, comme sur Terre.

Max Planck a quantifié les ondes hertziennes en thermodynamique et prévu la fréquence maximale, mathématiquement compréhensible, mais les ondes d’énergie ne furent évoquées que plus tard par Poincaré, en 1925.
Les ondes d’énergie sont activement recherchées depuis 1960, en particulier par les théories des cordes.

Une conséquence du mouvement gyroscopique est que la limite de Planck, 10^43 cycles par sec, corresponde à la fréquence racine 10^43 Hz.
C’est aussi la limite d’extrapolation mathématique valable, celle de la "Masse de Planck".

Au delà de cette valeur, le temps et la constante "C" entre autres, ne sont plus des références mathématiques, mais le phénomène thermique suit son cours, dans un sens comme dans l’autre.

En remontant vers la source, le BIG-BANG, le processus physique change: d’une fréquence variable et vitesse constante de mouvement linéaire, il passe à la fréquence constante et vitesse variable de mouvement linéaire (fig. 4).
Le photon est passé de la forme stable soit ћ*2.pi à ћ*2pi*10^10, suivant cette évaluation en durée depuis 10^-4 sec. en réalité depuis racine 10^-43 sec, il passe à ћ*2.pi* racine10^43.
Il faut noter qu’à ce niveau de température, la densité de particules n’est plus une référence sûre, car elles sont encore dispersées, sans interactions.

La valeur «"C" dite vitesse de la lumière » n’est donc pas constante, Jean-Claude Pecker dans l’Univers Exploré peu à peu expliqué, page 208, rappelle les travaux de Fresnel: les ondes lumineuses se propagent perpendiculairement à la trajectoire, la vitesse "C" est donc la vitesse de mouvement linéaire de la particule d’énergie, la vitesse de transfert dans ce milieu parfaitement élastique qu’est l’éther, le champs thermique résiduel. Pour la différencier notons la «Cex ».


2ème analyse: (en gravité)

Pour faciliter le raisonnement, on considère l’éther comme un gaz parfait, ce qui n’est pas exact, on le sait, mais l’analyse des données d’énergie des particules, conforme à la théorie en base "C" permet de connaître la vitesse moyenne de mouvement linéaire dans l’éther.
Le choix de considérer les racines cubiques de ces deux grandeurs, densité et dimension, permet de comparer des variations linéaires, en fonction du temps, pour un même taux d’énergie.
Cette comparaison donne le Tableau D:


Tableau D


En colonne

a: les instants en cosmologie
b: les durées en secondes, entre ces instants
c: l’évolution relative en cm (vitesse moyenne de mouvement)
d: l’évolution relative en valeur "C"
e: la variation relative de l’expansion en valeur "C"
f: la température de référence

L’instant 5 est noté à titre indicatif (imprécis pour le moment).

Précédent la naissance du Cosmos, l’éther n’existait que sous une forme de gaz, filaments de chaleur, évoluant vers l’organisation électromagnétique.

Ce tableau est interprété de la façon suivante :
La vitesse moyenne de mouvement des particules résulte de l’antagonisme des deux forces primordiales, l’impulsion d’origine thermique, une constante, et la force de gravité, variable en fonction de la densité d’énergie.
Cette observation permet de suivre la rapidité d’expansion de l’éther, mais la constante théorique "C" (électromagnétisme) n’est pas en cause. La fig. 3 et 3 bis traduit cette évolution.

Partant du Big-Bang et d’une évolution sphérique (le 9ème modèle de Bianchi), l’évolution de la densité d’énergie des particules permet d’évaluer l’expansion de l’éther depuis la création du Cosmos, de l'ordre de 10^10.

A cet instant, la vitesse moyenne des particules, disons Cex de l'ordre de 3 cm /seconde, soit 10^-10 fois moins que la valeur actuelle.

La vitesse de mouvement effective évaluée en quatre points, c'est insuffisant pour tracer une courbe valable, cependant en première approximation on peut prendre la valeur moyenne de chaque période, par exemple la racine carrée (De) :
1°) de 14 Ga à 1 Ma 4,414*10^17* racine 7,743*10^-1 = 3,643*10^17
2°) de 1 Ma à 10 sec 3,153*10^13*racine5,03*10^-5 = 2,236*10^11
3°) de 10 sec à 10^-4 à 10*2*10^-8 négligeable


L’expansion a pour rayon actuel total : 3,644*10^17*C, ce qui représente notre horizon de connaissance possible et l’âge de l’univers est 3,644*10^17 /3,1536*10^7( 1=an ) = 11,5 Ga.
Ainsi évolue notre champ thermique, l’éther.

Cette valeur d’expansion du rayon permet d’évaluer le volume et la masse de la sphère actuelle sous ce ce champ thermique:
en diamètre : 3,644*10^17*2.C = 7,288*10^17*C
en volume : (7,288*10^17*C)^3pi/6= 5,4725*10^69, en C^3
en densité par C^3 : 4.10^-31*2, 7.10^31 = 10,8 gr
masse énergie de l'univers : 10,8*5,4725*10^69=5,91*10^70 gr
diamètre du Cosmos à l'origine : 7,288*10^17 / 10^10 = 7,288*10^7*C.

La masse de l'univers étant une constante, c’est aussi la valeur sous confinement thermique
en sphère a, et sous confinement gravitique en sphère b, dont le rayon peut-être évalué:
Rayon 3,64*10^17 / 10^10 = 3,64*10^7*C, à l’origine du Cosmos.

Mais il manque une théorie de Physique générale: La thermodynamique du gaz du photon.
Sur la figure 3, les points à 10^-4 et à 10 sec définissent le début de l’expansion à racine10^-43 sec du temps universel.

Conclusions de cette partie

1°)- Cette analyse de données scientifiques dans le domaine des particules établies en cosmologie, confirme la théorie de Max Planck, concernant la limite d’application des lois de l’électromagnétisme à 10^43 cycles par seconde. (Ce qui fut traduit par 10^43 hertz en ondes observables à cette époque,il y a un siècle).
2°)- La limite de validité de la vitesse de mouvement linéaire des particules, est un repère physique du début de l’organisation de la matière, dont l’évolution peut être évaluée par cette méthode.

Remarque : Les valeurs obtenues ne sont pas définitives, seule la méthode est à retenir, puisqu'elle est accréditée par expérience (voir plus loin : Une expérimentation américaine décisive). Il faut maintenant situer le confinement gravitique dans le temps cosmologique, déjà ramené à 11,5 Ga au lieu de 14 Ga.
En effet, le schéma standard d'évolution de densité d'énergie, ne tient pas compte de l'expansion ni de la gravité; inconnues à cette époque ; ainsi, le point 2 du relevé, donné pour 1 million d'années après le Big-Bang est aberrant, mais semble se situer 1 million d'années depuis notre ère.














3° partie

3.1 Une expérience de pensée
Depuis LE BIG-BANG…. schématiquement en 2005


Les observations de cette étude et le concept élucidant la dualité onde-corpuscule : la fréquence maximale de moment magnétique, mathématiquement établie par Max Planck et l’existence de particules d’origine thermique, générant les ondes observables hertziennes (le grain de lumière …) étant admis, on peut imaginer le déroulement de l'évolution; depuis le BIG-BANG, sous les lois de la Physique Générale, en admettant qu’elles existent à l’origine, mais ne peuvent se manifester qu’en fonction du contexte.

A l’origine est une quantité d’énergie équivalente à 5,91*10^70 gr.
C’est un confinement thermique dû à la gravitation qui provoque une expansion rapide, une évolution sphérique.
Aucune constante physique n’est utilisable (C, G, h et même notre temps universel).
En partant de ces conditions :


1°) temps :
Chaque particule, une quantité de chaleur, la matière première, soit un photon en devenir, est expulsé radialement par une impulsion de courte durée: la force de pression est supérieure à la force de gravitation fig. 4.
A cette température, la chaleur confinée présente une charge électrique (électricité statique, Coulomb 1785) dont le déplacement génère un champ magnétique. De ce fait, l’impulsion de départ, un vecteur se transforme progressivement en torseur; la particule peut être représentée par son "centre d’énergie" en déplacement hélicoïdal (autour de la trajectoire) quand la compression cesse.
Quand le refroidissement atteint 10^32 °K, la vitesse de mouvement de translation est encore supérieur à racine10^43 fois "C" (ce qui correspond aux observations à 10^-43 seconde dans le schéma standard) et la vitesse de rotation est 10^43 cycles par seconde, la valeur maximale de Max Planck.

2°) temps:
Sans discontinuité, la vitesse de mouvement linéaire continue de chuter, la vitesse du moment magnétique est encore 10^43 cycles par seconde et à 10^21 °K la vitesse de mouvement linéaire est nulle: les lois de l’électromagnétisme sont efficientes, l’instant est racine 10^-43 seconde: c’est l’instant de Max Planck, (c’est le début de possibilité de matière organisée) mais le mouvement est limité par la force de gravité. A cet instant la force de gravité est égale à 10^20 fois au moins, 1a force d'impulsion, la constante cosmologique.
Les premières particules dispersées forment la surface d’une boule sphérique et rapidement les autres particules suivent et s’accumulent contre les premières formant ainsi une sphère de dimension limitée par la gravitation. Fig.3 sphère b de rayon 3,64*10^7*C.
Cette période correspond à la description de la partie dite SUSY par Jean-Claude Pecker dans l’Univers Exploré peu à peu expliqué, au sujet du 2ème Big-Bang. Cet instant est noté A sur le diagramme page 265.

3°) temps :
Toutes les particules à l’origine sous un confinement thermique sont maintenant sous confinement gravitique: c’est un état quasi stable en raison de la température qui se maintient un certain temps…. la possibilité en a été envisagée par Dirac (Sciences & Avenir Janvier 2005 page 63).
C’est le temps de la gestation des premiers éléments complexes.
La mesure du temps ne peut servir de référence avant que la température ne tombe à 10^10K.


4°) temps :
A 10^12°K c’est le relâchement progressif de la force de gravité devant la force d’ impulsion; le champs thermique, gaz de photons, évolue progressivement vers un état de gaz parfait(presque!).
La chute de température permet un relâchement de la force de gravité d’où une augmentation de dimension jusqu’à 10^10°K, puis les radiations apparaissent, une aurore suivie d’une expansion rapide, relativement car, au départ, la faible vitesse des particules, favorise la réalisation de gros agglomérats par la force de gravité: successivement les galaxies, les étoiles, divers corps chauds, tandis qu'en majorité les photons se refroidissent rapidement. C'est une période de grande luminosité et turbulences, de valeurs décroissantes pendant un milliard d’années au moins.
Ensuite, c'est une expansion plus lente, l'éther passant au rouge, puis c'est le calme de la nuit universelle.
La fig. 5 résume ainsi l’analyse du schéma standard.

5°) temps :
L’expansion est telle que la température actuelle de l'éther est à 2,735°K.


Note : En physique générale, chaleur et mouvement existent dés 0°K+, c’est un champ thermique électromagnétique.

Observations et Implications de ce phénomène

En confirmant la correspondance de la limite mathématique de fréquence de Planck 10^43 cycles/sec. au temps racine 10^-43 seconde, ce fait accrédite le concept proposé; ce fait est une conséquence du mouvement gyroscopique des particules.

L’implication de ce mouvement semble évidente pour expliquer divers phénomènes de Physique générale ou de Physique quantique, par de nouvelles interprétations et la réponse à questions pendantes, par exemple:

1- la continuité et la quantification de l’énergie,
2- la compréhension de l’effet de spin,
3- la genèse des ondes hertziennes d’origine thermique,
4- la genèse de la lumière,
5- la répartition énergie-masse des particules,
6- l’effet photons passe muraille,
7- le problème de la "masse de Planck".
8- relie la mécanique quantique à la physique générale,
9- accrédite le but de la théorie des super cordes,
10- en cosmologie, distinction entre vitesse de transfert électromagnétique d'information, « C », et vitesse moyenne de déplacement des particules, « Cex », et défini le début de la création de la matière organisée, la naissance du Cosmos et son expansion.
11- propose une réponse à des phénomènes en attente de causalité, la gravité, la masse manquante, ou la dérive des constantes.

La notion d’éther, ce champ d’énergie froide, actuellement forme un champ de gravitation et nous conduit à concevoir notre Univers comme une grosse bulle de "gaz de photons" (expression empruntée à Michel Cassé), à 2,735°K, dans laquelle se meuvent des masses plus ou moins importantes.
Cette énergie thermique en réserve, les masses, prolonge la chute asymptotique de température de l'éther.
L'éther est le MESURANDE de toutes les informations dont nous pouvons avoir connaissance sur notre univers.

En somme, ces quelques conséquences prévisibles de l'implication de ce phénomène, la cinématique gyroscopique des particules d’énergie, laissent penser que c’est "la clé" d’une nouvelle physique générale qui permettrait de mieux comprendre le GRAND LOGICIEL DE LA NATURE.

Cette suite du concept a été transmise aux mêmes personnalités en mai 2005.


3.2 Imprévu : une expérimentation américaine décisive


Dans le numéro 1050 Mars 2005 de Science et Vie, un article de Cécile BONNEAU « Matière, en route vers un ultime continent » décrit une expérimentation faite au RHIC (Etats-Unis) par plusieurs spécialistes. Parmi les explications du processus, on relève les propos suivants, de l'un des chercheurs Thomas LUDLAM


1°)_ Une première observation « on a déterminé que les particules détectées partent d'un volume asymétrique en forme de ballon de rugby, et qu'elles se déplacent différemment en fonction de leurs masses. Cela nous a demandé un nombre astronomique de données et un temps de calcul énorme, mais on peut en tirer la conclusion que le PQG se conduit comme une goutte liquide plutôt que comme un gaz parfait, ce qui est une immense surprise..... Mais cette découverte ouvre néanmoins une brèche théorique de taille. »

Cette observation faite à une température évaluée à 10^12°K ; correspond à un état de confinement gravitique décrit plus haut, figures 3, 3bis et 4.

2)_ Une seconde observation, de monsieur Thomas LUDLAM « mais lorsque sa vitesse devient relativiste, c'est à dire, proche de celle de la lumière, il subit, selon les lois de la relativité, une dilatation des durées conséquente. »

Cette observation est décrite précédemment en physique générale,voir l'évolution du Cosmos, c'est la période dite SUSI, au delà de la fréquence maximale de Max PLANCK, figure 4.


CONCLUSIONS


Malgré les résultats de la méthode expérimentale de mécanique quantique, cette expérimentation met en évidence l'invalidité de la théorie de physique quantique et confirme la validité du concept proposé, de physique générale 2005.


Après une longue éclipse, la Théorie de Physique Générale est à reconstruire.



Un résumé de l'étude a été transmis aux mêmes personnalités fin décembre 2005 .

4° partie

Quelques notions révisées

1° La gravitation :

Gravité, ce mot, a plusieurs sens, a engendré des confusions. En physique générale, la gravité est la force d'attraction de toute masse ou énergie en direction de son centre, dit centre de gravité ; la gravitation est le phénomène générateur de cette attraction et ne peut donc engendre, seule, aucune rotation, d'où cette expression inexacte : « la lune gravite autour de la terre » ainsi que l'idée acquise : « de gravitation universelle » pour la rotation des astres ou des planètes autour d'autres astres.


Ces rotations sont dénommées orbites, l'expression significative est donc orbitation.


Contrairement à ce qu'impose la pensée en Physique quantique, l' orbitation est due aux actions de la force de gravité, centripète, et à la composante, centrifuge, de la force d'inertie en trajectoire courbe. Cette force s'oppose à la force de gravité, les variations relatives différentes de ces forces, provoquent, dans certains cas, un équilibre permanent au cours du déplacement de la masse en orbite Fig. 6.

2° Quarks et gluons :

Une masse ou une énergie en orbitation, soumise à des forces opposées est l'équivalent d'un quark sous l'action de deux gluons; l'aspect quantique. Avec un seul gluon, la gravité étant omise en pensée orthodoxe, c'est l'incompréhensible effet-ressort, en physique quantique !
Ceci montre bien que la mécanique quantique ne peut être une théorie générale; elle est non seulement probabiliste et statistique mais aussi séquentielle. De plus elle ne considère que l'électromagnétisme, comme la radio, et ignore les champs scalaires,comme la gravité.

3° Orbitation :

La trajectoire de l'orbite est le lieu des points d'équilibre ; imposée par l'évolution des forces au cours du mouvement de déplacement, et non imposée par la « courbure de l'espace-temps ».

Notons que si la force, ou, éventuellement la somme des forces de gravité auxquelles la masse en orbite est soumise est inconnaissable, la valeur de la grandeur égale et opposée, la force centrifuge est déductible de la distance au centre d 'attraction, de la masse et de la vitesse du mobile sur son orbite.


L'orbite peut être circulaire ou elliptique, cela dépend de l' inertie du satellite et la direction de l'approche au moment de sa capture (fig. 6). Si l'orbite est circulaire, et quelle qu'en soit la dimension, les caractéristiques de direction et d'inertie avant l'accrétion, correspondaient à la valeur des effets gravité sur le satellite en orbite. Toute inégalité conduit soit à une orbite elliptique, ou aux conditions extrêmes: la déviation de la trajectoire, ou le contact tangentiel sur la masse attractive. Dans ce cas, cette action contribue au mouvement de rotation de la particule de plus grande inertie ; la répétition de cette action dès la création du Cosmos, est à l'origine de la constitution des masses stellaires et de leurs rotations.

La rotation et l' orbitation génèrent la force de Coriolis agissant sur le troisième axe de la masse mobile. Ces effets de la gravité sont universels, ainsi pour les électrons, c'est la force principale, qui les attirent vers le noyau, et les forces de répulsion électrostatique assurent la répartition. Les électrons se répartissent cependant sur plusieurs couches, de niveaux quantifiés.
Les différences de niveau correspondent à l'émission d'un photon, donc une variation du moment magnétique à chaque couche. Les électrons, dans ce cas, ne sont donc plus tous identiques.

Figure 6


4° La grandeur « G » est-elle variable en fonction de la température ?

Pour faire cette évaluation, il faut deux masses identiques, de dimensions différentes, à températures différentes, nous avons: la masse de l'univers, actuellement, à quelques degrés et la masse au temps de Planck, vers 10^21 °K, au temps zéro, en cosmologie (à moins 3,16*10^21 seconde, en temps universel).

La formule de Newton a fait ses preuves, F=G Mm /d^2, mais avec m égal à 1 unité, la distance d, devient le rayon d'une masse sphérique, la formule devient F= G*M/r^2. Entre les deux états thermiques, l'expansion est évaluée à 10^10, d'où la force de gravitation, vers l'origine, à 10^-4 sec: est F = G *M/r*10^100 et c'est l'instant où cette force de gravité est presque égale à la force de l'impulsion originelle, la constante universelle Λ.


A cet instant, l'évolution de la force de gravité réduit le mouvement des particules à quelques cm/s, en moyenne, permettant la possibilité de manifestation normale de l'énergie de Planck.
On constate ainsi que :


La constante de Planck est valable à toute température.


Vers 10^21°K au temps zéro du cosmos, 10^-21 sec., de notre temps universel, une période d'une certaine durée permet la transition entre la forme inorganisée de l'énergie en cours de confinement par gravité; et la forme organisée de l énergie du cosmos.
A cet instant, la valeur F = G*M/r*10^100 est l'application de la formule de Newton,
mais si la grandeur G a été vérifiée, c'est a la température ambiante ; or les deux masses sont à 10^21°K de différence:sans effet car la chaleur n'a pas de masse.


La grandeur G est une constante naturelle, comme l'énergie E.


5° Gravitation , force d'extraction:

Cette force d'attraction produit aussi l'action conséquente, une force d'extraction, considération qui s'applique à certains cas, en particulier a l'expérimentation de M. Planck, qui lui a permi de quantifier l'énergie des ondes hertziennes (d'origine thermique).

M. Planck aurait observé, que le transfert d'énergie se faisait par paquets (aux conditions d'équilibre du corps noir), mais c'est la nécessité de fournir une force d'extraction pour obtenir un transfert d'énergie.

De cette observation date l'idée que l'énergie se déplace par paquets.

L'écoulement de la chaleur ne se fait pas par période électromagnétique, ce qui est observé c'est un phénomène de relaxation dont la récurrence est fonction de la différence de température entre les deux milieux; pour chaque quantité de chaleur écoulée, l'écart de température s'élimine; dans la source de chaleur, la vitesse de diffusion est plus lente que la vitesse de, transfert des photons (simultanément en quantité, fonction de la distance de transfert). Exemple extrême : la foudre.
Pour « imager » ce phénomène (car les causes ne sont pas les mêmes) c'est la goutte d'eau au robinet, une ouverture plus grande permet l'écoulement continu ; il en est de même pour l'énergie thermique, elle se comporte comme un fluide, en débit variable.
Par contre, les électrons sont des entités, ce sont des « grains d'énergie » de valeur fixe.
Ce qui a permis à Einstein de confirmer la constante de Planck, par l'extraction d'électrons, en nombre proportionnel à la fréquence.
Cela marque la différence entre bosons et fermions.

6° La constante C :

La constante « C » est la vitesse de transmission des signaux électromagnétiques.
La « vitesse de la lumière » est une « expression non contrôlée », c'est la vitesse de translation des particules qui, éventuellement, nous apporte la lumière, la chaleur,ou le froid.
La lumière étant diffusée radialement à la trajectoire (Fresnel, 1821).


7° La vitesse d'expansion Cex:

La vitesse moyenne de translation des particules d'énergie thermique «Cex» variable en fonction de la densité d'énergie, très proche de « C » actuellement, traduit la vitesse d'expansion de l'éther, depuis la formation du Cosmos.

L'éther est le champ thermique issu de la formation du Cosmos, générateur des masses concrétisées de l' Univers quelques pour cent en énergie. L'état actuel en température de ce champ, quelques degrés Kelvin, permet l'observation des perturbations électromagnétiques provoquées par des sollicitations locales ou des transferts de particules, c'est le mesurande de nos connaissances en physique; son état permet de recevoir des photons venant de plusieurs milliards d'années, en vitesse Cex fonction de la stabilité de ce champ thermique résiduel actuel.
Ceci exclue la possibilité de « voir »le moment de la création, mais non les objets créés.

8° La constante de Boltzmann est une constante naturelle:

La constante de Boltzmann, E=kT, relie deux grandeurs naturelles, demeure valable.

9° La constante « t » :


Quant à la constante « t », c'est une référence construite à partir de la vibration de l'atome de césium, elle peut être conservée, théoriquement depuis 10^21 °K, pratiquement depuis 10^10K ; en raison de la gravité, de même pour h et ћ. Le début du temps universel est à 3,16*10^-21 seconde.

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Ces quelques observations ne sont certainement pas les seules nécessaires.

10° Conclusion générale :

En conclusion, la physique du XX° siècle pouvait être décrite en trois dimensions et le temps, pensait-on, mais il faut maintenant les trois vecteurs, les trois moments, le temps, et la température :
X,Y,Z, l, m, n, t,T, soit huit grandeurs.

Nous espérons que ce court exposé résultant de cinq années d'études, recevra l'agrément des physiciens.
Merci a ceux qui voudrons bien donner leur avis.

André DEVACHT
avec la collaboration de Georges DEVACHT et de François BONET


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11° A PART:
Curieusement, c'est ce que j'ai proposé en 1950, pour l'analyse du torseur aérodynamique. En ce temps là, les maquettes d'avion, voire de petits prototypes, étaient maintenus dans la veine de soufflerie par des câbles et poulies, formant des balances. Cette construction permettait de mesurer les forces, quelques fois des dizaines de kilogrammes par composantes; travail pénible, lent et coûteux.
A cette époque débutait une nouvelle discipline: l' extensométrie, une méthode de mesure des déformations par variation de résistance électrique de fils collés. Seules les jauges à film et l'amélioration des colles permirent des mesures précises, permises par la chaîne de mesure.
J'ai proposé l'analyse vectorielle des six composantes du torseur aérodynamique par la mesure des déformations tensorielles d'un barreau d'acier, en forme de dard; ainsi la maquette pouvait être libre dans la veine de soufflerie.
Accepté en 1952, j'ai réalisé mon projet, depuis la morphologie du barreau, le positionnement des jauges de contraintes, la conception des circuits, la chaîne de mesure adéquate. Caractéristiques: mesures linéaires, en courant continu, fidélité et résolution 0,1 microvolt, soit 10^-7 en dR/R, précision 1/1000, enregistrement analogique et numérique sur +ou-3000 divisions, 4 sensibilités, et affichage en clair chaque 6 secondes. Ainsi était équipée la plus grande soufflerie d'Europe à Modane en 1958. La Recherche aéronautique, n °20-(1951), 52(1956), 70(1959), 75(1959), 85(1961).
De même, dès 1956, pour une petite soufflerie, à Chalais-Meudon, la réalisation des balances dards à six composantes, et rotatives pour l'étude de la vrille, en combat aérien (c'était la guerre froide!).

5°-partie

BIBLIOGRAPHIE

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Regards sur la matière Fayard 1993
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Les atomes existent-ils vraiment ? Odile Jacob 1997
Trinh Xuan Thuan Le chaos et l’harmonie Fayard 1998
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Stephan HAWKING Une brève histoire du temps Flammarion 1998
Ilya PRIGOGINE La fin des certitudes Odile Jacob 1996
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Jean-Claude PECKER L’Univers exploré , peu à peu expliqué Odile Jacob 2003
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Dominique LAMBERT Le principe anthropique n° HS124 Sciences & Avenir Oct.2000
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Constantin BACHAS Sur la piste des super cordes n° HS141 Sciences & Avenir Dec. 2004
Marc LACHIEZE-REY La constante cosmologique n° HS141 Sciences & Avenir Dec.2004
Patrick PETITJEAN et Jean-Philippe UZAN
La dérive des constantes n°326 Pour la Science Dec.2004
Raphaël BOUSSO et Joseph POLCHINSKI
Le paysage de la théorie des cordes n°326 Pour la Science Dec4.2004
Catherine GOLDSTEIN et Jim RITTER
Einstein et la théorie unitaire, 40 ans de perdus? n° 326 Pour la Science Dec.2004
Mario NOVELLO Cosmos et contexte Masson 1997
Michel BITTBOL Mécanique quantique Flammarion 1997

LEXIQUE


TENSEURS , TORSEURS , FORCE DE CORIOLIS :
MECANIQUE GENERALE de Christian GUBER et Willy BENOIT aux Presses Polytechniques et Universitaires romanes 1998 Lausanne.
VIDE Espace sans dimension et à 0°K.
ETHER Espace où règne de l’énergie (dès 0°K+).
ESPACE-TEMPS Expression signifiant effet de relativité dans l’éther; dans ce texte: volume
minimum d’énergie, définition pratique de résolution quantique.
CENTRE d' ENERGIE Définition théorique d'application de la force.