8/04/2006

La Physique du xx°siècle remise en question

Le progrès des connaissances générales, au cours de ce siècle, a été considérable, mais des incompréhensions demeurent, que ne peuvent expliquer aucune théorie actuelle.

Les premières lois de la physique sont en cause.

Au début du xx° siècle, les phénomènes électriques et électromagnétiques faisaient l'objet d'observations, de calculs et de mesures. Pour la lumière, la vitesse de transfert électromagnétique fut retenue, qui de ce fait, devenait une constante, la constante C, adoptée par tous les physiciens.

Cela permit l'élaboration de formules célèbres et de raisonnements toujours d'actualité.

La théorie de physique générale, d'Einstein débutait brillamment, mais butait sur un problème : le dilemme onde-corpuscule.

Puis, par la naissance de la radioélectricité, une méthode de mesure d'énergie se présentait : la mécanique quantique dont le développement des réalisations pratiques fut important, rapide et continu, au point d'être considérée, actuellement, comme la théorie de Physique.

Implicitement, l'idée d'un Univers totalement électromagnétique est acquise.

Cependant, ces deux théories principales, ne permettent pas, en particulier, la compréhension de la physique cosmologique du début de l'univers. Des tentatives plus récentes : théorie des cordes, théorie quantique à boucles; théorie des fractales, n'ont pas plus de succès et la physique générale bute sur le dilemme : onde ou corpuscule, depuis 1904.

Le problème laissé par Einstein, n'était pas le conflit entre deux théories incompatibles, et mathématiquement compréhensibles séparément, mais le fait quelles dépendent, toutes deux, de données décidées et non expérimentales.

Il fallait certainement ces décisions, à l'époque, pour commencer l'élaboration de cette science mais les progrès des moyens de mesures électroniques, depuis ce temps, nous obligent à revoir ces débuts. La solution du dilemme onde-corpuscule permet de découvrir les données erronées.

Dans La Recherche de Mars 2006, l'article : « L'univers était liquide » consacré aux expérimentations en accélérateur de particules ne semble pas orienté vers la reconnaissance de l'impossible validité de la pensée orthodoxe; la théorie de Physique quantique.

Depuis un demi-siècle la "modération" des publications maintient peut-être la Physique dans une impasse.

Une cause supplémentaire du blocage de la théorie quantique est une question de Physique fondamentale : la gravité est un champ scalaire, donc échappe à la quantification de Planck.

Pour essayer de palier la modération, je présente un exposé, résumé de quelques années d'étude, dont le but est de faire connaître les raisons de cette impasse, et de proposer un concept de cinématique des particules, solution du dilemme onde-corpuscule. Ce concept modifie certaines décisions prises vers 1900, ce qui conduit à une nouvelle Physique générale, décrivant la naissance du Cosmos, par un confinement gravitique, puis l'expansion de l'éther, description confirmée par les expérimentations au RHIC, aux Etats-Unis en 2004.

Ce sujet est l'objet du texte suivant: